Pour adopter une attitude positive, il faut se donner le temps

Publié le par Fred

Pour adopter une attitude positive, il faut :

Se consacrer du temps pour réfléchir

Il y a également d'autres obstacles importants qui peuvent saper nos efforts d'organisation: plusieurs se sentent contraints par un horaire trop serré. Ils ont la désagréable sensation que la grille planifiée à l'agenda réduit leur liberté d'action et qu'ils n'ont plus le contrôle de leur temps. C'est que, le plus souvent leur seule expérience de planification se réduit à mettre à l'agenda les rendez vous et les calendriers de travail fixés par des contraintes extérieures. Cela assure, de facto, aux exigences extérieures une priorité dans l'attribution de son énergie. Il faut reprendre le contrôle de sa vie en prenant également des rendez vous avec soi même, en se réservant farouchement des heures pour réfléchir, planifier, anticiper, créer même. Ce sont les activités les plus importantes qu'on omet le plus souvent de placer dans son agenda.

Prendre conscience de ses tendances naturelles

Reconnaissez-vous dans la liste ci-dessous les obstacles liés aux tendances naturelles auxquelles vous cédez le plus souvent?

On préfère généralement la sécurité du présent à l'incertitude de l'avenir. Aussi fait-on passer d'habitude:

  • les résultats immédiats avant la planification visant des résultats à long terme;
  • l'action qui donne l'impression d'accomplir quelque chose, avant la réflexion;
  • ce qui nous plaît avant ce qui nous déplaît;
  • ce qui va vite avant ce qui prend beaucoup de temps;
  • ce que nous savons faire avant ce qui est nouveau pour nous;
  • ce qui est urgent avant ce qui est important;
  • ce que d'autres nous imposent avant ce que nous avons choisi;
  • ce qui est noté à une heure donnée sur notre agenda avant des travaux pour lesquels nous n'avons pas prévu de temps;
  • les interrupteurs avant nos propres priorités;
  • l'ordre d'apparition des problèmes avant leur ordre d'importance.


Si on ne parvient pas à modifier ses habitudes de planification ou à respecter ses résolutions de changement, il serait probablement sage de faire une évaluation des résistances réelles qu'on éprouve face à ces changements.


Source :  École Polytechnique de Montréal  -   http://www.polymtl.ca

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