Pour adopter une attitude positive, il faut :Dévelloper des convictions

Publié le par Fred

Pour adopter une attitude positive, il faut :
Développer les convictions nécessaires

Lorsqu'il s'agit de remplacer de vieilles habitudes par de nouvelles, il faut éviter de sous-évaluer les efforts nécessaires. Il faut s'imposer la discipline personnelle nécessaire à l'acquisition de nouvelles habitudes. Pour cela, on doit être convaincu que le temps est notre actif le plus précieux. Il faut aussi être convaincu qu'il est possible d'améliorer la gestion de son temps.

L'efficacité et le succès personnels sont une question d'attitude. Principalement, il faut assumer la responsabilité de sa vie en cessant d'attribuer aux autres ou à des facteurs indépendants de sa volonté les difficultés que l'on rencontre.

Bien qu'il y ait toujours des événements imprévisibles, on peut contrôler la majeure partie de son temps. Il faut se prendre en main et être convaincu qu'il est possible de mieux gérer son temps.

L'auto-discipline

Il n'en tient donc qu'à soi. Notre attitude est la clé du succès en gestion du temps. C'est notre attitude qui détermine ce que l'on peut et ne peut pas faire de son temps. Les étudiants qui réussissent à bien gérer leur temps ont, au préalable, développé une attitude positive et optimiste face à leur capacité de le gérer: ils sont convaincus que la gestion de leur temps dépend d'eux et d'eux seuls. Et ils agissent en conséquence!

Obstacles au changement

Bien que convaincus de la pertinence d'améliorer leur gestion du temps, certains ne réussissent jamais à modifier substantiellement leurs habitudes. C'est qu'une bonne gestion du temps peut faire perdre certains bénéfices secondaires.

Quels avantages tire-t-on d'une mauvaise organisation de son temps?

  • Se donner l'impression d'être stimulé pour ne pas voir son manque de motivation?
  • Utiliser l'angoisse du retard pour se donner l'illusion d'une vie intense?
  • Éviter certaines responsabilités?
  • Fuir des relations interpersonnelles difficiles?
  • Éviter une évaluation réelle en ne se donnant jamais tout le temps nécessaire pour étudier ou pour faire un travail?
  • Se donner une identité de personne affairée?
  • S'accommoder de ne pas réfléchir sous prétexte que c'est une perte de temps?
  • Attirer l'attention, mobiliser l'entourage.

Donc, il faut rester vigilant et vérifier si, par nos solutions, on ne s'attaque pas seulement aux symptômes... pour ne pas en voir la cause.

Source :  École Polytechnique de Montréal  -   http://www.polymtl.ca

Publié dans Ca se travaille

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